[Totalitarisme] La SHOAH / LES CAMPS DE CONCENTRATIONS

Voici la vidéo vue en cours:

NUIT ET BROUILLARD

Part 1:



Part 2:




Pour aller plus loin:

http://www.cndp.fr/actualites/question/memoire/pdf/telescope.pdf


http://www.memoire-net.org/article.php3?id_article=137


http://www.cndp.fr/Tice/Teledoc/dossiers/dossier_brouillard.htm

http://fr.wikipedia.org/wiki/Nuit_et_brouillard_(film)

La chanson de jean ferrat sur le sujet...

(Les paroles sont assez incroyables...j'aime beaucoup ce chanteur engagé)

Clip avec paroles:



Vidéo live:

J'avais déjà était choquée par les 10 premieres minutes d'hiroshima mon amour mais alors nuit et brouillard m'a vraiment, vraiment perturbée. C'est impossible de tout regarder sans ciller des yeux ou regarder ailleurs un moment. Le pire, c'est de savoir que ce sont des images d'archives ! Bref comme disait anthony en classe je savais pas qu'il pouvait y avoir des images aussi "crues" et sans pudeur de ce qui se passait.. C'est vraiment terrible et horrible de savoir qu'il y a pu avoir tant d'horreur dans ce qu'on appelle le XXeme siecle.

"Nuit et Brouillard" Un film dans l’histoire Sylvie Lindeperg (univ. Paris III) [18 janvier 2007 à 16h00]

Catherine Axelrad-Bourget questionne Sylvie Lindeperg autour de son livre « Nuit et Brouillard » Un film dans l’histoire.
« C’est par le cinéma que je sus que le pire venait juste d’avoir lieu », écrivait le critique Serge Daney. Plus précisément, grâce à Nuit et Brouillard, le film d’Alain Resnais sorti en 1956.
Walter Benjamin incitait l’historien à « découvrir dans l’analyse du petit moment singulier le cristal de l’événement total ». C’est ce que propose Sylvie Lindeperg dans cette microhistoire du court-métrage qui a marqué profondément notre imaginaire des camps nazis.
À partir d’archives inédites, elle reconstitue la genèse et les enjeux du film. Elle s’interroge sur les lectures et les usages, parfois inattendus ou contradictoires, dont Nuit et Brouillard a fait l’objet en France comme à l’étranger. Elle retrace le destin singulier de ce « lieu de mémoire » en suivant l’évolution des regards portés sur les images et sur l’événement depuis cinquante ans. Elle pose, dans toute son actualité, la question du rapport entre l’archive et la représentation des camps.



Voir liens audios et vidéos ici:

http://www.diffusion.ens.fr/index.php?res=conf&idconf=1633

Sylvie Lindeperg (univ. Paris III) Sylvie Lindeperg, historienne, est maître de conférences à l’université Paris-III-Sorbonne. Elle a publié Les Écrans de l’ombre. La Seconde Guerre mondiale dans le cinéma français (prix Jean-Mitry de l’Institut Jean-Vigo) et Clio de 5 à 7. Les actualités filmées de la Libération.

Présentation


Diplômée de l’Institut d’études politiques de Paris, Sylvie Lindeperg est historienne, maître de conférences à l’université de Paris III-Sorbonne nouvelle. Elle enseigne également à l’EHESS. S. Lindeperg est notamment l’auteur de : Les Ecrans de l’ombre. La Seconde Guerre mondiale dans le cinéma français (prix Jean Mitry de l’Institut Jean Vigo, CNRS Éditions, 1997) ; Clio de 5 à 7. Les actualités filmées de la Libération (CNRS Éditions, 2000) ; Nuit et Brouillard. Un film dans l’histoire (Odile Jacob, 2007).
Elle s’intéresse également aux usages des techniques numériques et à leurs effets sur l’écriture de l’histoire. S. Lindeperg a assuré la co-direction scientifique de plusieurs éditions multimédias parmi lesquelles Images de guerre 1940-1945 et Les Actualités mondiales (Éditions du Nouveau Monde, 2004 et 2005). Elle participe actuellement, au sein de l’Institut de recherche et d’innovation du Centre Beaubourg, à un projet d’expérimentation de logiciels d’analyse et d’annotation des images et des sons.

La libération des camps ( archives de l'armée américaine)

Part 1:



Part 2:





Documentaire en couleur:

Part 1:






La libération des Camps de Concentrations Nazis par les Américains .
Ici , ceux de Buchenwald et Dachau qui n'étaient pas spécifiquement destinés à la Solution Finale .
Extrait des Archives Couleur Américaines


LES HOMMES QUI ONT LIBÉRÉ BELSEN [1ére partie sur 2]
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En avril 1945, une unité de soldats britanniques pénètre dans un camp de concentration du nord de l'Allemagne, dans le village de Belsen. Les Alliés y découvrent l'horreur absolue : tranchées pleines de cadavres en putréfaction, survivants décharnés en train de mourir du typhus. Très vite se pose la question de l'enterrement des 35 000 morts et des soins à apporter aux 40 000 survivants infectés par le typhus. Ce documentaire livre les témoignages de certains des hommes qui ont libéré Belsen et les terribles images tournées à l'époque.



LES HOMMES QUI ONT LIBÉRÉ BELSEN [2éme partie sur 2]
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En avril 1945, une unité de soldats britanniques pénètre dans un camp de concentration du nord de l'Allemagne, dans le village de Belsen. Les Alliés y découvrent l'horreur absolue : tranchées pleines de cadavres en putréfaction, survivants décharnés en train de mourir du typhus. Très vite se pose la question de l'enterrement des 35 000 morts et des soins à apporter aux 40 000 survivants infectés par le typhus. Ce documentaire livre les témoignages de certains des hommes qui ont libéré Belsen et les terribles images tournées à l'époque.

Paragraphe 175 ( Histoire des déportés homosexuels)

Part 1:



Part 2:



Part 3:



Part 4:



On appelle paragraphe 175 l’article 175 du Code pénal (Reichstrafgesetzbuch) allemand qui condamnait l'homosexualité, de 1871 à 1994. C'est au nom de ce paragraphe que plusieurs dizaines de milliers d'homosexuels ont été arrêtés et envoyés dans les camps de concentration.

Jusqu'à la Seconde guerre mondiale :
Lors de l'unification allemande, en 1871, le gouvernement du chancelier Otto von Bismarck choisit de reprendre une vieille loi prussienne datant de 1794 et qui condamne l'homosexualité.

« Die Widernatürliche Unzucht, welche zwischen Personen männlichen Geschlechts oder von menschen mit Tieren begangen wird, ist mit Gefängnis zu bestrafen. »
Les homosexuels allemands bénéficiaient pourtant d'une relative tolérance au début du XXe siècle. A Berlin, les homosexuels avaient déjà leurs bars, leurs restaurants, et même une revue, l'Eigene.

L'arrivée d'Hitler au pouvoir change la donne. En 1935, les peines prévues par le paragraphe 175 sont doublées. Les homosexuels sont pourchassés, arrêtés, envoyés dans des camps de concentration où ils sont torturés et subissent des expériences médicales. Placés au bas de l'échelle hiérarchique des prisonniers, forcés de porter le triangle rose (" das rosa Winkel"), leur taux de mortalité est l'un des plus élevés parmi les catégories de prisonniers, avec celui des Juifs.

Après 1945 :
Le paragraphe 175 fut modifié en 1969 : l'homosexualité cessa d'être un motif d'emprisonnement. Mais comme en France, l'âge du consentement à un rapport sexuel reste plus élevé pour les homosexuels, et de nombreux homosexuels restent poursuivis, mais pour outrage à la pudeur.

Le paragraphe 175 fut finalement abrogé en 1994.

Auschwitz: les alliés savaient






Extrait de « droit d'inventaire » de Marie Drucker mercredi 28 novembre 2007
Invités : Denise Holstein, rescapée des camps d’Auschwitz et Bergen Belsen témoigne et Bernard-Henri Lévy.


Drancy-Auschwitz : le dernier convoi

Extrait de « droit d'inventaire » de Marie Drucker mercredi 28 novembre 2007
(reportage de Alexandra Ranz et Antonin Bernard)

Le 22 juillet 1944, un dernier train quitte Drancy pour Auschwitz, emportant des Juifs français vers une mort programmée. Pourtant à cette époque, le Reich peut être bombardé depuis l’Italie. Mais les réseaux ferroviaires qui alimentent les camps d’extermination ne sont jamais choisis comme cibles prioritaires. Pourtant, depuis deux ans, les dirigeants britanniques et américains accumulent des informations leur permettant de comprendre l’ampleur de l’entreprise criminelle nazie contre les Juifs. Communications allemandes décryptées par le système Ultra, témoignages d’évadés, appel au secours du gouvernement polonais en exil ou des organisations juives : tout converge pour souligner l’urgence. Les Alliés avaient-ils les moyens militaires d’arrêter ou de freiner les déportations ? Si oui, pourquoi ne les ont-ils pas utilisés pour sauver ceux qui pouvaient encore l’être ?

Une journée à auschwitz


Un film tourné en novembre 2006 à Auschwitz, à l'occasion d'un voyage de une journée organisée par le conseil régional d'Ile de France.

Ghetto de Varsovie:



Extrait d'un DvD "Archives couleur"

Virgie a écrit:

J'avais déjà était choquée par les 10 premieres minutes d'hiroshima mon amour mais alors nuit et brouillard m'a vraiment, vraiment perturbée. C'est impossible de tout regarder sans ciller des yeux ou regarder ailleurs un moment. Le pire, c'est de savoir que ce sont des images d'archives ! Bref comme disait anthony en classe je savais pas qu'il pouvait y avoir des images aussi "crues" et sans pudeur de ce qui se passait.. C'est vraiment terrible et horrible de savoir qu'il y a pu avoir tant d'horreur dans ce qu'on appelle le XXeme siecle.

Moi c'était pareil. J'étais toute chose après. J'ai même pas pris de notes tellement j'étais fixée avec horreur dessus. J'avais même les larmes qui sont montés deux dois. Et ma grand-mère se demande pourquoi j'aime pas regarder ces trucs là (âme sensible -______________-)

Il y a un film aussi qui parle de la déportation mais cette fois des homosexuels...
Ca s'appelle "Un amour à taire" et quand j'étais petite j'me souviens avoir été marquée par ce film. C'est une fiction mais ça reste très bien fait je trouve.